« …Sinon, une autre belle découverte en 1ère partie : Léo Haag, militant
du piano préparé, capable grâce à ses petites bidouilles de transformer son
instrument en synthé, en clavecin, en harpe ou, en bon disciple de Fazil Say,
de nous transporter dans la savane africaine ou en Chine. Le tout venant en
appui d'un verbe virtuose, parfois corrosif, souvent humoristique, où la grivoiserie
alterne avec des vers qui ne détonneraient pas dans un Lagarde et
Michard XVIIe s. Il s'agissait visiblement d'une des premières présentations
publiques de son travail, à suivre... »